Goldman Sachs et JP Morgan financent la propagande européiste

Une majorité de Britanniques favorables à la sortie de l'UE

 

 

 

Le journal Le Monde révèle, ce 17 janvier 2016, dans un article que, selon un sondage, une majorité de Britanniques sont favorables à la sortie de l'UE.

 

D'après ce sondage, réalisé les 15 et 16 janvier 2016, 20 % des Britanniques sont indécis, 42 % sont en faveur de la sortie du Royaume-Uni de l'UE et 38 % sont contre. En d'autres termes, 53 % de ceux qui ont exprimé une préférence sont pour la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

 

Le référendum qui permettra aux sujets britanniques de s'exprimer à propos de cette question devrait avoir lieu au plus tard en 2017, et peut-être même dès le mois de juin de cette année 2016.

 

 

Les banques Goldman Sachs et JP Morgan ne comptent pas laisser faire

De nombreux journaux, dont par exemple The Guardian, Le Huffington Post et Sky News rapportent, ces derniers jours, que les grandes banques d'affaires états-uniennes Goldman Sachs et JP Morgan font des dons pour la campagne de propagande qui va être menée afin de convaincre les Britanniques de rester dans l'Union européenne.

 

The Guardian écrit, entre autres :

 

"Reported six-figure donation sent from bank’s international arm to Britain Stronger in Europe even before date for referendum is set."

 

Ce qui signifie en français :

 

« On rapporte un don à six chiffres fait par la banque internationale [Goldman Sachs] à Britain Stronger in Europe avant même que la date du référendum soit connue. »

 

Britain Stronger in Europe est un organisme de propagande dont l'objet est de convaincre les électeurs britanniques de voter, lors du référendum à ce sujet, en faveur du maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne.

 

Un don à six chiffres signifie un don d'une valeur comprise entre 100.000 et 999.999 livres sterling. Certains milieux bien informés, comme par exemple François Asselineau, qui est inspecteur général des finances en France et qui est le Président fondateur du parti politique français l'Union Populaire Républicaine (UPR) (le seul parti politique français qui propose la sortie de la France de l'Union européenne par la mise en œuvre de l'article 50 du TUE, de la zone euro ainsi que de l'OTAN), parlent d'une somme de 900.000 à 950.000 livres sterling, ce qui équivaut à un montant de quelque 1,25 million d'euros.

 

Vous entendrez, entre 39'36'' et 44'25'', s'exprimer à ce sujet François Asselineau dans cet entretien d'actualité extrêmement intéressant qu'il a donné il y a quelques jours, ce 26 janvier 2016 :

 

François Asselineau, le 26 janvier 2016

 

Les liens de Goldman Sachs avec l'Union européenne

 

De très nombreux membres ou anciens membres de Goldman Sachs ont fait part ou font encore part de divers gouvernements ou organismes tels que la Banque mondiale ou encore la Banque du Canada. Sans doute est-ce entre autres pour cela que certains appellent cette banque :

« La pieuvre Goldman Sachs » ou encore « Government Sachs ».

 

C'est ainsi, par exemple, que divers anciens commissaires européens - excusez du peu ! -, tels que l'Italien Mario Monti, l'Irlandais Peter Sutherland ou encore le Belge Karel Van Miert, ont également occupé de très hauts postes chez Goldman Sachs.

 

La palme revenant sans doute à Mario Draghi qui, après avoir été vice-président de Goldman Sachs pour l'Europe de 2002 à 2005, s'est retrouvé directeur de la Banque centrale européenne en 2011. Il devrait le rester jusqu'en 2019. Certains y voient un conflit d'intérêts. Et vous ?

Conclusion

 

Pour ceux qui l'ignoraient encore, nous avons ici donc des preuves supplémentaires éclatantes du fait que la prétendue construction européenne est bien l'œuvre des États-Unis d'Amérique et de l'oligarchie financière et que l'Union européenne n'est rien d'autre qu'une entreprise de vassalisation du continent européen.

En effet, pourquoi ces grandes banques d'affaires états-uniennes financeraient-elles la campagne en faveur du maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne si cela ne servait pas leurs intérêts ?

Il est extrêmement clair que les États-Unis d'Amérique ne veulent pas la fin de l'Union européenne mais bien son maintien.

 

Ne vous laissez plus dire que l'Union européenne aurait été créée afin de faire le poids face aux États-Unis d'Amérique. Vous savez qu'il n'en est rien !

 

 

Mike Werbrouck

Président fondateur du MIB

 

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