Deuxième confinement en Belgique et tests obligatoires en Slovaquie

 

 

Nous vous avions prévenus il y a une semaine : nous vous infligeons dès aujourd'hui, un deuxième confinement, avec, évidemment, maintien des masques obligatoires et du couvre-feu.

 

À ceux qui feront valoir qu'il n'y a, tant d'après les statistiques officielles belges que françaises, aucune surmortalité pour cette année 2020 depuis le mois de mai 2020, ni même aucune surmoralité en Belgique dans la partie de la population qui a moins de 65 ans, nous répondrons que peu nous chaut : nous faisons ce que nous voulons.

 

Et puis, votre argument d'absence de surmortalité, nous allons le balayer. Les prédateurs que nous sommes ne vous considérons que comme du bétail : grâce aux mesures coercitives illégales et anticonstitutionnelles que nous vous imposons, vous allez, nous le savons parfaitement, connaître une surmortalité : à cause du masque, à cause de l'augmentation de la pauvreté, à cause de l'effondrement de la santé mentale de la population, à cause de la destruction des familles (une deuxième vague de divorces va s'abattre sur vous), à cause de l'affaiblissement du système immunitaire de la population qui est provoqué par ces mesures destructrices, à cause de ce que nommons frauduleusement « vaccin » et qui est en réalité une thérapie génique, cette liste n'étant pas exhaustive.

 

Ha ! Ha ! Ha ! Nous jouons avec vous, nous allons vous faire crever, à petit feu, les uns après les autres et vous obéissez comme de misérables gentils !

 

Pendant ce temps, en Slovaquie

 

En Slovaquie, l'entièreté de la population, soit quelque 5,4 millions de personnes, est « invitée » à subir un test au coronavirus :
• en cas de résultat positif, l'individu doit se mettre en quarantaine pour une durée de 10 jours ;
• en cas de résultat négatif, l'individu se voit remettre un certificat bleu qui lui servira de laissez-passer l'autorisant, durant les prochaines semaines, à sortir de chez lui et à circuler dans le pays.

La police contrôlera la population dans les rues et sur les routes : ceux qui ne seront pas en possession du certificat bleu seront passibles d'une lourde amende.

Ainsi, le test n'est prétendument pas « obligatoire », mais ceux qui refusent de le passer se voient interdire de sortir de chez eux !


C'est le nouveau langage de l'oligarchie dictatoriale qui nous oppresse : rien n'est obligatoire, ni les tests ni les vaccins ni quoi que ce soit, mais ceux qui ne feront pas ce qu'elle leur « proposera » se verront emprisonnés à domicile.


Il s'agit d'une nouvelle étape extrêmement dangereuse qui vient d'être franchie à l'encontre de notre liberté ! L'obligation, à peine masquée - c'est le cas de le dire ! -, de devoir subir un acte médical sous peine d'exclusion sociale !

2,58 millions de personnes ont été testées ce week-end du samedi 31 octobre et du dimanche 01
er novembre 2020. Le reste de la population est « invitée » à se faire tester le week-end prochain.
Sur les 2,58 millions de personnes testées ce week-end, quelque 26.000 ont été positives, soit 1 %. Quelle étrange épidémie qui ne touche que 1 % de la population et dont l'immense majorité des personnes formant ce 1 % ne sont ni malades ni contagieuses !

 

 

Igor Matovič, qui est le président du gouvernement slovaque, soit l'équivalent de premier ministre, depuis le 21 mars 2020 et qui est un multimillionnaire  ancien patron des médias, a déclaré à propos de cette « invitation » à l'entièreté de la population à se faire tester :
« Ce sera notre chemin vers la liberté. »

Cette déclaration d'Igor Matovič, tout à fait représentative de l'inversion de langage dont ne cesse de faire usage l'oligarchie qui nous oppresse, est digne de cette célèbre citation présente dans l'ouvrage magistral de George Orwell
1984 , œuvre qui reste une priorité de lecture, voire de relecture (Folio pour la traduction française, 1950, p. 81),  :


« La liberté, c'est l'esclavage »

 

 

Quelle est la suite ?

 

Si vous obéissez bien, nous vous permettrons peut-être de sortir quelque deux ou trois semaines pour les fêtes de fin d'année, mais pas plus ! Après, à la niche ! Nous vous réservons un troisième confinement. Et puis un autre, et encore un autre, ad libitum (pour nous) et ad nauseam (pour vous)...

 

Nous vous tenons par la peur, nous n'allons jamais vous lâcher.

 

Comme vous l'a dit, ce 13 juillet 2020, notre laquais Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'Organisation Mondiale pour la Santé, organisme que nous finançons et qui répond donc à nos ordres :

 

 

« There will be no return to the old normal for the foreseeable future. »

 

Ce qui signifie en français :

 

« Il n'y aura pas de retour à l'ancienne normale dans un futur prévisible. »

 

Tedros Adhanom Ghebreyesus,

directeur général de l'OMS

Le 13 juillet 2020


 

 

L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est un organe de l'ONU. Nombre de gens s'imaginent qu'à ce titre elle est financée exclusivement par les pays, ce qui est faux ! En effet, la majorité¹ du financement de l'OMS est fournie par des organismes privés et notamment par la Fondation Bill & Melinda Gates¹ qui est le plus grand financeur de l'OMS, le deuxième étant Gavi, the Vaccine Alliance¹, qui est elle-même contrôlée par la Fondation Bill & Melinda Gates et qui a le statut d'observateur auprès de l'Assemblée mondiale de la santé, cette dernière étant le forum à travers lequel l'OMS est gouvernée.

 


 

 

La Fondation Bill & Melinda Gates ainsi que Gavi, the Vaccine Alliance font toutes deux la promotion de la vaccination et financent toutes deux largement l'OMS. Ce financement étant inévitablement conditionnel, l'OMS n'a d'autre choix que de promouvoir, elle aussi, la vaccination. L'OMS n'est donc plus qu'un organe de propagande aux mains d'intérêts privés qui ne se soucient que de leurs objectifs personnels. À ce titre, l'OMS a perdu tout crédit et tout gouvernement soucieux du bien-être de sa population doit s'affranchir des diktats de l'OMS ; c'est ce qu'a fait Donald Trump en mettant fin au financement que les États-Unis d'Amérique octroyaient à l'OMS.

 

 

¹Pour être précis, les organismes privés financent plus de 80 % du budget annuel de l'OMS, budget qui est de 4,4 milliards de dollars états-uniens (US$). Le plus grand financeur de l'OMS est la Fondation Bill & Melinda Gates, à hauteur de 531 millions US$, et le deuxième plus grand financeur de l'OMS, est Gavi, the Vaccine Alliance, à hauteur de 371 millions US$. Ces deux organismes, tous deux contrôlés par Bill Gates², contribuent donc au budget de l'OMS pour un total de 902 millions US$, soit 20,5 % de ce budget de l'OMS !

 

²La fortune personnelle de Bill Gates est estimée à 114,7 milliards US$, soit plus de 26 fois le budget annuel total de l'OMS, budget qui n'est donc que de la roupie de sansonnet en comparaison de la fortune de son premier financeur, Bill Gates.

 

 

Napoléon franchissant le Grand Saint Bernard

par Jacques Louis David (de 1800 à 1803)

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

 

 

 

 

 

 

 

Comme l'a très justement dit Napoléon Bonaparte :

 

« La main qui donne est au-dessus de la main qui prend. L'argent n'a pas de patrie. Les financiers n'ont aucun patriotisme et pas la moindre décence. Leur seul but est le gain. »


Comment tout cela va-t-il finir ?

 

Tout cela ne peut finir que de l'une des quatre façons suivantes :

 

1° Premièrement, le gouvernement décide de mettre fin aux mesures coercitives illégales et anticonstitutionnelles qu'il nous impose et nous retrouvons notre vie normale. Ces mesures politiques ayant été imposées indépendamment de toute nécessité sanitaire, seuls les naïfs peuvent y croire un instant.

 

2° Deuxièmement, une dictature totale, sous une surveillance de masse absolue s'installe sous prétexte sanitaire. Ce serait la fin de l'humanité.

 

Une première façon d'éviter cela est la désobéissance civile de masse. Mais attention : plus la population attendra pour désobéir, plus il sera difficile de le faire, non seulement sur le plan physique, mais également mental.

 

4° La désobéissance civile de masse requérant une participation active d'une portion appréciable de la population, dans l'hypothèse où celle-ci reste tétanisée par la peur inoculée par les médias dominants, la dernière solution consistera en un coup d'État. En plus de citoyens compétents et déterminés, celui-ci nécessitera de façon incontournable le soutien, ou du moins le laisser-faire, des forces armées du pays : militaires et policiers devront comprendre que leur devoir qui consiste à servir et à protéger la population est de ne plus assister le régime xénocratique et créocratique qui détruit nos pays, mais de permettre à la population de prendre le pouvoir et d'instaurer un sytème politique qui la sert, ce que nous appelons la démocratie.

 

Des mesures politiques dictatoriales

La liberté ne se négocie pas

 

La liberté ne se négocie pas : elle n'est pas à vendre ni ne se reçoit ; on ne l'obtient pas en marchandant ni en la quémandant. La liberté se prend et se conserve.

 

 

 

N'oubliez jamais ces paroles historiques prononcées par Benjamin Franklin, l'éminent scientifique qui fut de surcroît un des Pères fondateurs des États-Unis d'Amérique, le 11 novembre 1755 à l'Assemblée de Pennsylvanie, dans sa célèbre Réponse au Gouverneur :

 

"Those who would give up essential Liberty, to purchase a little temporary Safety, deserve neither Liberty nor Safety."

 

Ce qui signifie en français :

 

« Ceux qui renonceraient à la Liberté essentielle, afin d'acheter un peu de Sécurité temporaire, ne méritent ni la Liberté ni la Sécurité. »

Benjamin Franklin

au Benjamin Franklin National Memorial

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

 


Article 35 de la Constitution française du 24 juin 1793, précédée d'une déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen

 

« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs³. »

 

 

³Le citoyen a le devoir, pour ne pas en être complice, de lutter contre la tyrannie.

Pour rappel, la tyrannie est un gouvernement autoritaire qui ne respecte pas les libertés individuelles et sur lequel le peuple n'a aucun contrôle.

 

 

Les temps difficiles créent des hommes forts

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En ces temps difficiles, devenez des hommes forts !


Conclusion

 

La liberté ne se négocie pas. La liberté se prend et se conserve.

 

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

 

Quels que soient votre positionnement politique, votre horizon social, culturel ou linguistique, francophone, néerlandophone ou autre, si vous voulez qu'il soit mis fin sans délai aux mesures dites «_sanitaires » que le gouvernement s'efforce d'imposer, illégalement et anticonstitutionnellement rappelons-le, à la population belge, vous avez le devoir moral de vous mobiliser et d'agir en fonction de vos possibilités personnelles. Chaque geste compte et pèse dans la balance !

 

En ces temps difficiles, devenez des hommes forts !

 

 

Bas les masques !

#StopDictatureSanitaire

 

 

Mike Werbrouck

Président fondateur du MIB

 

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