La dictature sanitaire est un piège abscons

Couverture du livre Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens

Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois (Presses universitaires de Grenoble, 2002)

L'image représente le tableau Arlequin (aussi appelé Arlequin Assis, Arlequin accoudé ou encore Arlequin penché)

par Pablo Picasso (1901)

 

 

Une des raisons pour lesquelles la dictature sous prétexte sanitaire parvient à se maintenir est qu'il s'agit d'un piège abscons. Si la population en avait conscience et adoptait la seule mesure efficace en la matière, cette dictature prendrait très vite fin.

 

Qu'est-ce qu'un piège abscons ?

Couverture du livre

Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens

Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois

(Presses universitaires de Grenoble, 2002)

 

 

Robert-Vincent Joule et feu Jean-Léon Beauvois étaient tous deux chercheurs en psychologie sociale et Professeurs des Universités, le premier à Aix en Provence, le second à Nice.

 

Ils définissent, dans leur ouvrage commun Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens (Presses universitaires de Grenoble, 2020, p._41), ce qu'est un piège abscons :

 

1. L'individu a décidé de s'engager dans un processus de dépense (en argent, en temps ou en énergie) pour atteindre un but donné.

 

2. Que l'individu en soit conscient ou non, l'atteinte du but n'est pas certaine.

 

3. La situation est telle que l'individu peut avoir l'impression que chaque dépense le rapproche davantage du but.

 

4. Le processus se poursuit sauf si l'individu décide activement de l'interrompre.

 

5. L'individu n'a pas fixé au départ de limite à ses investissements.


 

La dictature qui s'efforce de s'imposer sous prétexte sanitaire remplit chacun de ces cinq critères :

 

1. Une partie importante de la population a cru, qu'en se soumettant aux obligations et aux interdictions, illégales et anticonstitutionnelles comme l'a d'ailleurs jugé le tribunal de première instance de Bruxelles ce 31 mars 2021, que voulait lui imposer le pouvoir, la situation reviendrait assez vite à la normale.

 

 

2. Alors que le pouvoir tente de faire croire à la population que la vie redeviendra normale après un énième et prétendu dernier épisode de soumission qu'il lui impose, il n'en est jamais rien. Nous vous l'avons écrit, répété et expliqué en détail : la dictature sanitaire est prévue pour durer indéfiniment.

 

Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'Organisation Mondiale pour la Santé l'avait déjà annoncé il y a quelque neuf mois, le 13 juillet 2020 :

 

« There will be no return to the old normal for the foreseeable future. »

 

Ce qui signifie en français :

 

« Il n'y aura pas de retour à l'ancienne normale dans un futur prévisible. »

Tedros Adhanom Ghebreyesus,

directeur général de l'OMS

Le 13 juillet 2020


 

Le professeur Djillali Annane a même déclaré, ce 25 mars 2021, sur CNews (entre 0'15'' et 0'21'' dans la vidéo) :

 

« Je ne vois pas la situation revenir à la normale avant la fin de la décennie actuelle. »

 

Même si nos lecteurs savent parfaitement ce qu'est une décennie, nous soulignons que « pas avant la fin de la décennie actuelle » signifie « pas avant 2030 » !

 

Les médias commencent donc à faire passer l'idée que cette odieuse situation durera encore au moins neuf (9 !) ans ! Autant dire, et c'est le cas, que cette abjecte mascarade est prévue pour durer indéfiniment !

 

 

3. Il est demandé à l'individu de se soumettre toujours plus à des obligations et à des interdictions absurdes et humiliantes : porter un masque qui, c'était encore indiqué sur les emballages il y a quelques mois, ne protège pas des maladies infectieuses, subir des tests médicaux, bientôt de façon encore plus humiliante, alors qu'il n'est aucunement malade, se faire injecter des substances présentées de façon spécieuse comment étant des « vaccins » - dont les autorisations de mise sur le marché ne sont que conditionnelles et dont l'efficacité relative et l'innocuité sont inconnues de tous, y compris de ceux qui les ont conçus ! -, ne plus toucher ni même voir qui il veut, pas même les membres de sa famille, ne plus sortir la nuit voire le jour, ne plus se déplacer, ne plus se rendre sur son lieu de travail, ne plus ouvrir son commerce, se taire dans le métro, se voir interdit de chanter dans les crèches, se soumettre à une surveillance sans cesse plus accrue, être privé de voyages, de vie sportive, de vie sociale et même intime. Cette longue liste, qui est loin d'être exhaustive, indique que nous sommes en présence d'un régime totalitaire.

 

 

 

 

 

 

4. Ce processus se poursuivra sauf si l'individu décide activement de l'interrompre.

 

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5. Celui qui croit encore que cela finira par s'arranger grâce à son obéissance n'a tout simplement fixé aucune limite à sa soumission.

 

 

Il n'y a qu'une façon de s'extirper d'un piège abscons : il faut se fixer une limite stricte.

 

Passé cette limite qu'il s'était fixée, l'individu devra admettre que celle-ci est atteinte. Il ne lui restera plus qu'à simplement refuser de continuer à obéir aux injonctions illégales, absurdes, contradictoires et mortifères du pouvoir : il deviendra, dès ce moment, l'acteur de sa propre libération en pratiquant la désobéissance civile, montrant ainsi, de surcroît, le bon exemple :

 

DÉSOBÉISSANCE CIVILE DE MASSE !

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

DÉSOBÉISSANCE CIVILE DE MASSE !

Effet de gel et escalade d'engagement

 

Un piège abscons repose, en ce qui concerne la situation, sur les paramètres inhérents à celle-ci, et, en ce qui concerne l'individu, sur son incapacité à admettre s'être trompé, ce qui génère l'effet de gel, ainsi que sur sa croyance irrationnelle qu'en suivant, voire en renforçant ses décisions initiales se livrant ainsi à une escalade d'engagement, il réussira enfin à obtenir ce que les événements continuent à lui refuser avec constance.

 

L'effet de gel entraîne l'escalade d'engagement. Pour s'extirper de ce piège, il faut idéalement être capable de considérer la situation pour ce qu'elle est à l'instant présent, sans aucune considération pour les événements antérieurs. À peu près personne n'en étant capable, la seule solution restante dont dispose l'individu pour briser l'effet de gel et mettre fin à l'escalade d'engagement consiste à se fixer, à l'avance, une limite stricte qu'il respectera.

 

Soumission à l'autorité et à la conformité

 

Le piège abscons qu'est la dictature sanitaire repose aussi, bien sûr, tant de la part de la population que de celle des forces armées, sur la soumission à l'autorité et sur la soumission à la conformité. Ces deux concepts cruciaux seront l'objet de deux prochains articles.

 

Un rappel essentiel : il n'y a aucune surmortalité en 2021

Nombre de décès (toutes causes) en Belgique par groupe d'âge, entre le 01er janvier et le 21 mars¹ (2017-2021)

Source : https://statbel.fgov.be/fr/visuals/mortalite

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

 

 

Les statistiques officielles belges l'affirment elles-mêmes : entre le 01er janvier et le 21 mars¹, cette année 2021 est, parmi les cinq dernières années, celle qui - et de très loin ! - connaît la plus faible mortalité !

 

Une éventuelle saturation actuelle des hôpitaux en Belgique ne saurait donc en aucun cas être causée par la situation sanitaire actuelle qui n'a rien de particulier.

 

Toutes les mesures liberticides, qui sont, rappelons-le, illégales et anticonstitutionnelles, que le gouvernement s'efforce d'imposer à la population belge sont strictement politiques - et pour être précis totalitaires² - et n'ont à voir avec quelque situation sanitaire que ce soit.

 

 

¹21 mars car Statbel ne présente pas, à la date d'aujourd'hui, de données postérieures au 21 mars 2021. Le graphique fourni nonobstant par Statbel pour la période comprise entre le 01er janvier et le 06 avril, date d'aujourd'hui, serait encore plus éloquent et plus favorable à notre démonstration :

 

Nombre de décès (toutes causes) en Belgique par groupe d'âge, entre le 01er janvier et le 06 avril (2017-2021)

Source : https://statbel.fgov.be/fr/visuals/mortalite

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

 

 

 

²Le totalitarisme est, rappelons-le, un régime politique dans lequel la dictature s'exerce non seulement dans la sphère politique, mais également dans toutes les autres, y compris les sphères privée et intime, quadrillant toute la société et tout le territoire, en imposant à toutes les personnes l'adhésion à une idéologie obligatoire, en dehors de laquelle elles sont considérées comme des ennemis de la communauté.

Tout totalitarisme est, par nécessité, une tyrannie : une tyrannie est un gouvernement autoritaire qui ne respecte pas les libertés individuelles et sur lequel le peuple n'a aucun contrôle.

Le citoyen a le devoir, pour ne pas en être complice, de lutter contre la tyrannie.

 

Conclusion

 

Il n'y a qu'une façon de s'extirper d'un piège abscons : il faut se fixer une limite stricte.

 

La dictature sanitaire n'en est qu'à ses prodromes : elle est prévue pour durer indéfiniment et, par conséquent, ne pourra que se durcir.

 

La seule façon qu'a chaque individu de s'en libérer consiste à se fixer une limite temporelle : combien de temps décide-t-il d'encore accepter de se soumettre aux diktats liberticides illégaux et anticonstitutionnels du pouvoir en place ?

 

Une fois passé cette date butoir, l'individu devra admettre que la limite qu'il s'était fixée, peut-être très longtemps auparavant, est atteinte. Il ne lui restera plus qu'à simplement refuser de continuer à obéir aux injonctions absurdes, contradictoires et mortifères du pouvoir : il deviendra, dès ce moment, l'acteur de sa propre libération en pratiquant la désobéissance civile, montrant ainsi, de surcroît, le bon exemple.

 

DÉSOBÉISSANCE CIVILE DE MASSE !

 

 

#BasLesMasques

#StopDictatureSanitaire

 

 

Mike Werbrouck

Président fondateur du MIB

 

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