Conseils de lecture

 

Les livres sont présentés par ordre alphabétique en fonction du nom de l'auteur ou, si celui-ci est inconnu, du titre de l'ouvrage.

 

Aristote, La Politique

Bernays Edward, Propaganda

Booker Christopher et North Richard, La grande dissimulation   L'Histoire secrète de l'UE révélée par les Anglais

Bradbury Ray, Fahrenheit 451

Brzezinski Zbigniew, Le grand échiquier

Charvin Robert, Faut-il détester la Russie ?

Collon Michel, Libye, OTAN et médiamensonges   Manuel de contre-propagande

Collon Michel, Poker menteur   Les grandes puissances, la Yougoslavie et les prochaines guerres

Collon Michel et Lalieu Grégoire, La stratégie du chaos   Impérialisme et Islam

Dumas Roland et Vergès Jacques, Sarkozy sous BHL

Foucher Gérard, Les Secrets de la monnaie

Gallois Charles-Henri, Les illusions économiques de l'Union européenne

Huntington Samuel, Le Choc des civilisations

Huxley Aldous, Le meilleur des mondes

Johnstone Diana, Hillary Clinton   La reine du chaos

Joule Robert-Vincent et Beauvois Jean-Léon, Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens

Kimyongür Bahar, Syriana   La conquête continue

Lacroix-Riz Annie, Aux origines du carcan européen (1900-1960)

• Lalieu Grégoire, Jihad made in USA

Le Bon Gustave, Psychologie des foules

Machiavel Nicolas, Le Prince

Marris Bernard, Antimanuel d'économie

Milgram Stanley, Soumission à l'autorité

Miller Alice, La connaissance interdite

Molliné Jean, Peut-on bâtir une démocratie ?

Moreau Xavier, Ukraine   Pourquoi la France s'est trompée

Morelli Anne, Principes élémentaires de propagande de guerre

Morris Desmond, Le Singe nu

Morris Desmond, Le Zoo Humain

Orwell George, 1984

Parenti Michael, Le Visage de l'Impérialisme

Parenti Michael, Tuer une Nation   L'assassinat de la Yougoslavie

Pichon Frédéric, Syrie   Pourquoi l'Occident s'est trompé

Plaquevent Pierre-Antoine, Soros et la société ouverte, métapolitique du globalisme

Porcher Thomas et Farah Frédéric, TAFTA : l'accord du plus fort

Ryssen Hervé, Les Espérances planétariennes

Sand Shlomo, Crépuscule de l'Histoire

Schopenhauer Arthur, L'Art d'avoir toujours raison

Soral Alain, Comprendre l'Empire, Demain la gouvernance globale ou la révolte des Nations ?

Soral Alain, Comprendre l'Époque, Pourquoi l'Égalité ?

Sun Tzu, L'art de la guerre

Les 36 Stratagèmes   Manuel secret de l'art de la guerre

• Vergès Jacques, La démocratie à visage obscène   Le vrai catéchisme de George W. Bush

Zola Émile, Germinal

 

Aristote

La Politique

IVe siècle avant notre ère

 

Également connu sous les noms « Les Politiques » ou « Les traités politiques », ce livre est un classique incontournable qui reste d'actualité.

 

Contentons-nous d'en souligner trois passages :

 

• Aristote affirme que le citoyen devrait chercher avant tout à se livrer à la vie politique et à la philosophie (Livre I, chapitre II, 23).

 

• Aristote condamne sans réserve le prêt d'argent avec intérêt (Livre I, chapitre III, 23) :

 

« On a surtout raison d'exécrer l'usure, parce qu'elle est un mode d'acquisition né de l'argent lui-même, et ne lui donnant pas la destination pour laquelle on l'avait créé. L'argent ne devait servir qu'à l'échange ; et l'intérêt qu'on en tire le multiplie lui-même [...] L’intérêt est de l’argent issu d’argent, et c’est de toutes les acquisitions celle qui est la plus contraire à la nature. »

 

En d'autres termes, dès que de l'argent est prêté avec intérêt par un émetteur de monnaie, il y a plus d'argent dû qu'il n'en existe, ce qui a pour conséquence qu'il est impossible de rembourser l'ensemble de la dette.

 

Cette question cruciale est developpée dans notre article phare Qu'est-ce que la créocratie ?

 

Aristote (-384 à -322)           

 

Aristote nous dit, au paragraphe 4 du chapitre IX du Livre VIII, où il décrit, entre autres, les moyens dont dispose la tyrannie pour se maintenir au pouvoir :

« Un autre principe de la tyrannie est d’appauvrir les sujets, pour que, d’une part, sa garde ne lui coûte rien à entretenir, et que, de l’autre, occupés à gagner leur vie de chaque jour, les sujets ne trouvent pas le temps de conspirer. »

 

Un livre à lire sans délai et à méditer...

 

 

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Ray Bradbury

Fahrenheit 451

1953

 

Cette œuvre dystopique nous présente une société qui prohibe les livres sous le prétexte qu'ils n'inspireraient que des pensées dangereuses. Dans ce monde déshumanisé, où la bêtise est élevée au rang de manière de vivre, les individus, vivant chacun malheureux et retranchés au plus profond de leur égoïsme, se contentent de l'opinion officielle et ne comprennent en fait plus rien.

 

Dans cette Union européenne qui restreint de plus en plus la liberté d'expression et qui grave même dans le marbre de la loi la possibilité de pratiquer la censure, cet incontournable classique est, chacun jour un peu plus, d'actualité.

 

 

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Zbigniew Brzezinski

Le grand échiquier

1997

 

Ce livre est, avec Le Choc des civilisations de Samuel Huntington, une des deux grandes bibles des néoconservateurs états-uniens.

 

Dans cet ouvrage, le grand géostratège Zbigniew Brzezinski décrit ce qu'il faut faire pour que les États-Unis d'Amérique restent les maîtres du monde au XXIe siècle.

 

Voici deux extraits édifiants de ce livre  :

 

« L'OTAN constitue non seulement le support essentiel de l'influence américaine, mais aussi le cadre de sa présence militaire en Europe de l'Ouest, enjeu crucial. » (p. 78)

 

« Pour le dire sans détour, l'Europe de l'Ouest reste dans une large mesure un protectorat américain et ses États rappellent ce qu'étaient jadis les vassaux et les tributaires des anciens empires. » (p. 88)

 

 

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Robert Charvin

Faut-il détester la Russie ?

2016

 

Né en 1938, professeur émérite de droit, spécialisé dans les relations internationales, à l'université Nice Sophia Antipolis, Robert Charvin est un expert en droit international ainsi qu'en relations internationales.

 

Par ce livre, Robert Charvin nous invite à réfléchir et à adopter un esprit critique face à la propagande incessante de diabolisation dont est l'objet la Russie, et en particulier Vladimir Poutine, ces dernières années.

 

Voici la présentation qu'en font Michel Collon et Emmanuel Wathelet :

Michel Collon et Emmanuel Wathelet, printemps 2016

 

 

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Samuel Huntington

Le Choc des civilisations

1996

 

Ce livre est, avec Le grand échiquier de Zbigniew Brzezinski, une des deux grandes bibles des néoconservateurs états-uniens.

 

Henry Kissinger l'a décrit comme :

« Le livre le plus important depuis le fin de la guerre froide. »

 

Znigniew Brzezinski a écrit à son sujet :

« Un tour de force intellectuel : une œuvre fondatrice qui va révolutionner notre vision des affaires internationales. »

 

Le Choc des civilisations présente une vision racialiste - le racialisme étant ce courant de pensée, distinct du racisme, apparu en Europe au milieu du XIXe siècle et qui explique les phénomènes sociaux par des facteurs héréditaires et raciaux - du monde qui justifierait le recours à la guerre afin de faire valoir la supériorité de la « démocratie » états-unienne sur le reste du monde.

 

Il est intéressant de remarquer que le titre original de ce livre est :

 

The Clash of Civilizations and the Remaking of World Order

 

Ce livre n'est rien d'autre qu'une justification racialiste de l'ambition hégémonique des États-Unis d'Amérique sous couvert de leur célèbre destinée manifeste, cette idéologie qui prétend que les États-Unis d'Amérique ont pour mission divine de répandre leur vision de la démocratie à travers le monde.

 

Le MIB dénonce la théorie belliciste du prétendu choc des civilisations, théorie qui nous mène droit à la guerre !

 

Nonobstant les idées qu'il véhicule, ce livre reste fort intéressant et instructif ; il a le mérite d'aider à mieux comprendre le point de vue impérial états-unien et permettra au lecteur de décoder plus clairement la propagande belliciste actuelle car celle-ci est grandement basée sur la peur du prétendu choc des civilisations.

 

 

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Annie Lacroix-Riz

Aux origines du carcan européen (1900-1960)

2014

 

Dans ce livre, l'historienne Annie Lacroix-Riz nous présente une excellente analyse des origines de la construction européenne et démontre que celle-ci n'a absolument rien à voir avec la démocratie et encore moins avec le bonheur des peuples mais, au contraire, n'est qu'un outil d'asservissement de ceux-ci, pour le plus grand bénéfice du capitalisme prédateur.

 

 

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Gustave Le Bon

Psychologie des foules

1895

 

Ce livre, écrit en 1895, explique qu'une foule est une entité en soi, décrit la psychologie qui lui est propre, précise les mécanismes qui permettent de l'influencer et révèle bien d'autres choses édifiantes encore.

 

Incontournable afin de mieux comprendre  la véritable hypnose que les dirigeants du système qui nous oppresse exercent sur les foules.

 

 

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Anne Morelli

Principes élémentaires de propagande de guerre

2001

 

Anne Morelli est une historienne belge. Entre autres activités, elle donne cours à l'Université Libre de Bruxelles (ULB), où elle enseigne, notamment, la critique historique.

 

Dans cet ouvrage, Anne Morelli résume, en dix mécanismes essentiels, les principes de la propagande de guerre identifiés par le Britannique Arthur Ponsonby, Member of the Parliament, qui s'opposait fermement à l'engagement du Royaume-Uni dans la Première Guerre mondiale.

 

Voici ces dix « commandements » de la propagande de guerre :

 

  1 Nous ne voulons pas la guerre.

  2 Le camp adverse est le seul responsable de la guerre.

  3 Le chef du camp adverse a le visage du diable (ou « l'affreux de service »).

  4 C'est une cause noble que nous défendons et non des intérêts particuliers.

  5 L'ennemi provoque sciemment des atrocités, et si nous commettons des bavures c'est

     involontairement.

  6 L'ennemi utilise des armes non autorisées.

  7 Nous subissons très peu de pertes, les pertes de l'ennemi sont énormes.

  8 Les artistes et intellectuels soutiennent notre cause.

  9 Notre cause a un caractère sacré.

10 Ceux qui mettent en doute notre propagande sont des traîtres.

 

 

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George Orwell

1984

1949

 

Ce livre  est l'exemple parfait de la dystopie : une société imaginaire où le bonheur est impossible à atteindre et dont le modèle ne doit pas être imité.

 

Ne pas être imité ? C'est pourtant de plus en plus le monde dans lequel nous vivons : une société dictatoriale, qui se moque du bien-être de ses membres, qui instrumentalise et réécrit l'histoire, qui pratique la surveillance généralisée et qui organise la guerre permanente.

 

 

Voici quelques extraits édifiants de cette œuvre qui est une priorité de lecture :

 

« Le véritable but du novlangue est de restreindre les limites de la pensée. »

 

« Orthodoxie signifie non-pensant, qui n'a pas besoin de pensée. L'orthodoxie, c'est l'inconscience. »

 

« Elle était souvent prête à accepter le mythe officiel, simplement parce que la différence entre la vérité et le mensonge ne lui semblait pas importante. »

 

« Winston se rendit compte à quel point il était facile de présenter l'apparence de l'orthodoxie sans avoir la moindre notion de ce que signifiait l'orthodoxie. C'est sur les gens incapables de la comprendre que la vision du monde qu'avait le Parti s'imposait avec le plus de succès. »

 

« Pour que les grands gardent perpétuellement leurs places, la condition mentale dominante doit être la folie dirigée. »

 

« Winston était-il donc le seul à posséder une mémoire ? »

 

« Un de ces jours, Syme sera vaporisé. Il est trop intelligent. Il voit trop clairement et parle trop franchement._»

 

 

« Si tous jouissaient de la même façon de loisirs et de sécurité, la grande masse d'êtres humains qui est normalement abrutie par la pauvreté pourrait s'instruire et apprendre à réfléchir par elle-même, elle s'apercevrait alors tôt ou tard que la minorité privilégiée n'a aucune raison d'être, et la balaierait. En résumé, une société hiérarchisée n'est possible que sur la base de la pauvreté et de l'ignorance. »

 

« L'ignorance, c'est la Force. »

 

« La Liberté, c'est l'esclavage. »

 

« Le but primordial de la guerre moderne est de consommer entièrement les produits de la machine sans élever le niveau général de la vie. »

 

« La conscience d'être en guerre, et par conséquent en danger, fait que la possession de tout le pouvoir par une petite caste semble être la condition naturelle et inévitable de survie. La guerre non seulement accomplit les destructions nécessaires, mais les accomplit d'une façon acceptable psychologiquement. »

 

« La guerre est engagée par chaque groupe dirigeant contre ses propres sujets et l'objet de la guerre n'est pas de faire ou d'empêcher des conquêtes, mais de maintenir intacte la structure de la société._»

 

« La guerre, c'est la Paix. »

 

 

Comme le dit, en 2017, Roger Waters, membre fondateur du groupe Pink Floyd :

 

« We live in 1984. »

 

Roger Waters, été 2017

 

1984 : un livre à lire, ou à relire, sans délai !

 

 

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Michael Parenti

Le Visage de l'Impérialisme

2011

 

Né en 1933, historien et titulaire d'un doctorat en sciences politiques obtenu à la très prestigieuse université Yale, Micheal Parenti écrit, depuis plus de 45 ans, des livres dont certains sont très critiques à l'encontre de la politique menée par les États-Unis d'Amérique. Étant lui-même citoyen états-unien, on ne saurait le taxer d'un quelconque antiaméricanisme.

 

Ce livre montre, au travers de nombreux exemples historiques, et de façon claire et criante, ce qu'est réellement le visage de l'impérialisme. À peu près chaque page de ce livre est édifiante !

 

En voici quelques passages intéressants, parmi de très nombreux autres :

 

« Le point de vue hétérodoxe joue un rôle particulier : il conteste l'orthodoxie, il élargit les frontières du débat, il amène les gens à déterrer des données ignorées. La fonction de l'opinion orthodoxe ou conventionnelle est exactement opposée : garder les paramètres du discours dans des limites aussi étroites que possible, rejeter les faits qui ne s'accordent pas avec le paradigme dominant. »

 

« Les empires ne sont pas innocents, distraits, surgis par génération spontanée. Ils reçoivent leurs directions téléologiques de dirigeants qui mobilisent consciemment des masses de personnel et de matériel pour piller d'autres pays et d'autres peuples. »

 

« Le visage de l'impérialisme montre un carnage sans fin. »

 

« Certains réactionnaires prétendent que la dette vient principalement des versements de sécurité sociale et d'autres droits sociaux qui menacent de faire faillite dans les années à venir. En fait, au cours du dernier demi-siècle au moins, le Social Security Trust Fund n'a cessé d'être excédentaire. En 2010, il possédait un surplus cumulé de 2600 milliards de dollars. »

 

« Cet appauvrissement des services publics n'est pas seulement l'un des coûts de l'Empire, c'est un de ses objectifs. Les dirigeants impériaux font la guerre non seulement contre des personnes dans des pays étrangers, mais contre leur propre peuple. »

 

« Les gains tirés de l'Empire coulent entre les mains des privilégiés de la classe des affaires, des grands investisseurs étrangers, tandis que les coûts sont extraits de la trésorerie générale, c'est-à-dire « du travail des autres citoyens ». »

 

« Depuis la Seconde Guerre mondiale, Washington a donné des centaines de milliards de dollars d'aide militaire pour former et équiper les troupes et les forces de sécurité intérieure de plus de quatre-vingts pays, le but n'étant pas de défendre ces nations d'une invasion extérieure mais de protéger les oligarques au pouvoir et les investisseurs multinationaux contre les dangers d'une insurrection nationale. »

 

« Nos dirigeants politiques et d'entreprises nous répètent sans relâche que le monde est un endroit hostile. Ils voient des ennemis partout, en grande partie parce que leurs propres intérêts impérialistes les mettent en conflit avec autant de monde. »

 

« Les interventionnistes mondiaux, pour s'assurer les bénédictions d'un «  marché » sans entraves, le paradis des sociétés libres, doivent garder le contrôle ploutocratique de la planète. Pour ce faire, ils doivent se rallier l'opinion publique par l'orgueil patriotique et la xénophobie. Une fois que les gens craignent pour leur survie, ils sont prêts à remettre leurs oboles fiscales et même à abandonner leurs droits démocratiques à des dirigeants censés plus compétents qu'eux. »

 

« L'objectif des dirigeants réactionnaires états-unien est la tiers-mondialisation du monde entier, notamment de l'Europe et de l'Amérique du Nord, un nouvel ordre mondial dans lequel le capital aura le pouvoir suprême, sans services publics ni syndicats, pas de classe ouvrière prospère, instruite, organisée ni de classe moyenne hautement éduquée avec des attentes et un sens aigu de ses droits, pas de soin médicaux publics, pas de fonds de pensions, de sécurité ou de protection de l'environnement et des consommateurs, ni aucune de ces choses insupportables  qui pourraient réduire les profits et conduire à une distribution plus égalitaire des chances. »

 

Un livre qui fait froid dans le dos... À lire sans tarder !

 

 

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Thomas Porcher et Frédéric Farah

TAFTA : l'accord du plus fort

2014

 

Ce tout petit livre vous permettra déjà d'en savoir beaucoup sur l'immense péril que fait peser sur la Belgique, comme sur tout pays qui signerait cet accord, le TAFTA, qui est également connu sous le nom de TTIP ou de GMT. Il s'agit du Grand Marché Transatlantique que les États-Unis d'Amérique veulent imposer à l'Union européenne.

 

Cette question gravissime du TAFTA, est l'objet de la conférence que j'ai donnée, à Bruxelles, le samedi 16 avril 2016.

 

Les menaces que fait peser le TAFTA sur notre société sont tellement importantes que c'est avec plaisir que je donnerai de nouveau cette conférence à tout groupe de personnes qui le souhaiterait. N'hésitez pas à me contacter à ce sujet. Cela peut s'organiser très facilement.

 

 

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Les 36 Stratagèmes   Manuel secret de l'art de la guerre

Rédigé en Chine, probablement  à l'époque de la dynastie Ming

 

Ce grand classique de stratégie chinoise est étudié dans toutes les écoles de guerre au monde.

 

Le caractère autobloquant de l'Union européenne est une application du trente-cinquième de ces stratagèmes, celui des chaînes.

 

Mike Werbrouck

Président fondateur du MIB

 

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